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Des dettes, trop de dettes

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Des dettes, trop de dettes Empty Des dettes, trop de dettes

Message  Deidara Jeu 4 Fév - 21:01

Mon amie, quand je lui ai dit que j'avais eu un commentaire en postant ma nouvelle sur le fofo, ma demandé de posté la sienne donc voila!!! Nouvelle écrite par Marie:

Des dettes, trop de dettes


John Miller aurait pu être un homme respectable, se sentir bien dans sa peau et avoir une bonne estime de lui-même, bref, avoir une belle vie. Mais, depuis peu, en plus d’avoir perdu son emploi, il avait perdu sa douce moitié. Elle l’avait quitté pour des raisons qu’il ignorait ou plutôt qu’il s’entêtait à ignorer. Il n’admettait tout simplement pas le profond problème qui l’habitait et le persécutait depuis son adolescence, c’est-à-dire le jeu. Évidemment, ce n’était pas étonnant puisqu’il résidait dans la ville anciennement connue sous le nom de «Sin City». Donc, depuis quelques années, il avait amoncelé une série de dettes insurmontables. Il lui arrivait même de se dire que s’il continuait ainsi, il ne survivrait pas. Cependant, il se trouvait incapable de s’empêcher de jouer, il ne se contrôlait plus. Pour ajouter à cela, en 1998 il apprenait que sa grand-mère souffrait de la maladie du siècle : le cancer. Donc, depuis quatre ans, il s’efforçait de lui rendre visite une fois par mois, ce qui était difficile pour un homme comme lui.

Le mois de décembre commençait à peine. John venait de finir son déjeuner en lisant le «Las Vegas Sun», comme à son habitude. Dehors, le temps était magnifique, pas trop froid ni trop chaud. L'arrivée prochaine de Noël créait une ambiance chaleureuse et surexcitée. John préférait ce moment de l’année aux autres, car il y avait beaucoup d’étrangers qui venaient aux casinos, ce qui lui permettait de jouer avec plus de partenaires, ce qui augmentait ses chances de gagner. Pour profiter de ce merveilleux samedi, il avait statué de passer du bon temps au casino. Avant de partir, il se regarda dans le miroir, satisfait de l’harmonie entre ses traits carrés, ses cheveux noirs coiffés vers l’arrière et son habit. Juste avant le dîner il était prêt à sortir.

À ce moment-là, son cellulaire sonna. L’envie de ne pas répondre pour pouvoir aller jouer le démangea. Il décida tout de même d’aller répondre. Étonnement, ce fut la voix de sa grand-mère qu’il entendit. Au début, il ne fit pas le lien, mais lorsqu’elle lui révéla qu’elle avait été transférée aux soins palliatifs il commença réellement à s’inquiéter. Il ne la voyait que très peu, mais il s’était attaché et cette annonce l’affectait plus que ce qu’il avait imaginé. Il lui demanda, anxieux, pour combien de temps exactement elle vivrait. Sa grand-mère, pour ne pas trop troubler son petit-fils, hésita, mais finit par dire : « Selon les médecins, il ne me reste que quelques semaines. » Cette nouvelle coupa le souffle de John. Il mit fin à la conversation tellement il était perturbé.

Encore une fois, pour fuir ses problèmes, il alla au Caesars Palace pour s’adonner à des jeux de hasard. Cependant, la nouvelle de sa grand-mère le tenaillait, le torturait. Après un certain temps, s’en était trop : «Je dois trouver un moyen de faire disparaître ma peine, je ne pourrai pas la supporter plus longtemps, je vais finir par craquer.» Il y songea longuement et se rappela que sa grand-mère possédait une énorme fortune. S’il héritait de tout cet argent après la mort de sa grand-mère, il n’aurait plus de dettes. Penser à cette idée le faisait frémir de joie. Désormais, il n’aurait plus de peine, mais il aurait même hâte que sa grand-mère meure pour qu’il puisse bénéficier de cette richesse.

Dès le lendemain, il alla voir sa grand-mère à l’hôpital. Pour se rendre au centre médical, il prit la route 15 puis la sortie A-41. Là-bas, on l’accueilli puis on l’entraîna dans la chambre où sa grand-mère était soignée. Son état s’était effectivement aggravé depuis la dernière fois qu’il l’avait vue. Cette remarque le dérouta légèrement. L’agitation qu’il avait éprouvée la veille remonta en lui et s’accentua. Il eut comme un pincement au cœur. En effet, malgré ses efforts, il se sentait nostalgique, car sa grand-mère l’avait aidé lorsque son père s’absentait et le maltraitait. Elle était pour lui la mère qu’il n’avait jamais eue. Un mal de ventre s’installa et lui sembla vouloir rester. N’en laissant rien paraître, il engagea la conversation. Évidemment, il ne parla pas tout de suite de l’héritage, question de politesse et aussi de stratégie, pour ne pas avoir l’air obsédé par l’argent. Après un bon moment, sa patience commençait à diminuer. Alors, il en vint subtilement au sujet. La seule réponse qu’il reçu fut que sa grand-mère ne déciderait rien et que ce serait son père qui hériterait par la logique des choses. Le sujet fut clos, mais un certain malaise survint. Ne supportant plus cet inconfort grandissant, John inventa une excuse pour partir le plus vite possible.

Au début, l’annonce de sa grand-mère l’avait déçu. Elle venait de détruire tous ses espoirs, ses illusions et par le fait même, ses chances de régler ses dettes. Mais plus il y repensait, plus une irritation envers son père grandissait. Comme il éprouvait encore de la rancune envers lui, son père l’exaspérait. Maintenant, il avait une raison de plus de lui en vouloir. Lui, qui n’avait pas été digne d’un père, recevrait l’héritage alors que lui, qui avait souffert, ne recevrait rien! Il trouvait cela absolument injuste, il devait faire quelque chose. Il n’allait tout de même pas renoncer à une si grande fortune! Après tout, il en avait beaucoup plus besoin que son père. Pour essayer d’apaiser cette révolte en lui, il décida d’aller prendre un bon café près de chez lui. En même temps, cela lui permettrait de réfléchir.

Il se rendit donc au Starbucks et se commanda un cappuccino. Ensuite il choisit une table à l’écart des autres, question d’être seul pour repenser à ce qui lui arrivait et surtout, ce qui allait arriver. Sur ce, il entama son café et réfléchit. Cela faisait un bon moment qu’il se trouvait là et sa colère ne disparaissait pas. Il avait terminé son cappuccino depuis au moins une demi-heure, mais il sentait qu’il allait se passer quelque chose en lui. Effectivement, une idée germa dans son esprit. C’était assez radical, mais il était certain d’obtenir ce qu’il désirait et, du coup, il se rendrait justice. Cette idée lui était venue de la colère qui s’était faufilée en lui depuis l’entretien avec sa grand-mère et la frustration de son adolescence ratée. Il allait éliminer le seul obstacle qui le séparait de l’héritage : son père. Il n’était pas peu fier de cette idée, il ferait d’une pierre deux coups. Cette idée lui procurait une mince joie, ce qui, se dit-il, n’était pas normal. Sa réaction le déconcertait. Mais il ne pouvait pas s’empêcher de sourire quand il y repensait.

En déjeunant le matin suivant, John se posa des milliers de questions, mais une en particulier, comment allait-il tuer son père? Cette réflexion le gêna quelque peu, car d’après lui, une personne sensée n’y songerait même pas. Toutefois, il y repensa toute la journée. Aucune réponse valable ne se dessinait. Il ne devait pas tarder, car sa grand-mère mourrait dans quelques semaines. Au matin, rien de plus que la veille ne lui vint à l’esprit. Il faut dire qu’il n’était pas allé au casino depuis un moment déjà. Qui sait, peut-être y trouverait-il une façon d’éliminer son père.

Après plusieurs pertes, il prit une petite pause pour boire quelque chose et se changer les idées. En voyant son verre, il eut comme une apparition : il empoisonnerait son père. C’était parfait, personne ne le soupçonnerait, on croirait à un suicide. Après cette illumination, John n’avait plus tellement la tête à jouer, ce qui était assez rare pour lui. Il quitta donc le Ceasars Palace. À la sortie, il remarqua un jeune couple qui entrait. La femme semblait dans la vingtaine et en assez bonne forme. L’homme, quant à lui, avait plutôt l’air dans la trentaine. Quoi qu’il en soit, les voir lui rappela son ex-femme et, en même temps, le fait qu’il se sentait horriblement seul. Il enviait leur bonheur. Cependant, il savait qu’il serait aussi heureux et même plus sous peu.

En arrivant chez lui, il ressentit encore le trouble qui le tourmentait plus tôt. Cependant, il devait absolument préparer ce sombre projet. Pour trouver le poison idéal, il fit plusieurs recherches et tomba finalement sur la poudre de thallium. Content de sa trouvaille, il continua son plan. Il s’imagina plusieurs scénarios, mais ne retint que le plus simple. Il organiserait une rencontre chez son père, question de parler de sa grand-mère et de savoir comment il vivait avec cela. Il attendrait patiemment que ce dernier veuille aller aux toilettes. À ce moment-là, John proposerait de faire des breuvages. Il incorporerait le poison dans celui de son père et le tour serait joué. Évidemment, il porterait des gants pour ne pas laisser de traces sur le sac. Il jubilait déjà à l’idée d’hériter, il ne se contenait plus.

Dès le lendemain, il se rendit chez un fournisseur peu connu de matières toxiques. Il demanda trois grammes de thallium. L’homme se demandait ce qu’il voulait faire exactement avec les trois grammes puisqu’il n’en fallait qu’un seul pour tuer quelqu’un. John en avait acheté deux de plus par précaution. Il paya donc le marchand et repartit avec sa commande. Il attendit une journée avant d’appeler son père. Lorsque celui-ci décrocha, une vague de colère monta en John. Il se contrôla du mieux qu’il put, puis lui demanda :

«Comment vas-tu ?»

-Pas si mal, affirma son père sans trop de conviction.

-Et pour « grandma », comment te sens-tu? insista John.

- Ce n’est pas toujours évident de faire avec l’idée qu’elle ne sera plus là, avoua tristement James.

-C’est sûr…», rétorqua John sans vraiment s’en préoccuper.

Cette conversation écœurait John, il avait de la difficulté à être aussi gentil envers son père. James hésita un peu avant d’accepter l’invitation de son fils à passer chez lui, se disant qu’il l’avait peut-être pardonné. Il ne se doutait aucunement que John avait une toute autre idée en tête. Son plan se déroulant à merveille, John flottait sur un nuage de bonheur. Il était tellement aveuglé par la vengeance si douce et le sentiment de justice rendue qu’il ne se sentait même pas coupable de commettre ce crime.

Le samedi suivant, il se prépara et mit le poison dans sa poche de veston. Il prit sa Maroon Ford Mustang et entreprit la route menant chez son père. Après ce qui lui parut une heure, il arriva devant la maison de son père. Il prit une grande inspiration et sortit de sa voiture. Il se sentait bizarre à l’intérieur, comme un mélange de colère, de remords et d’appréhension. Quant à son père, il paraissait heureux de revoir son fils. John entra dans la maison et essaya d’avoir l’air naturel. Ce fut plus dur au début, puisqu’il dû lutter contre sa nervosité grandissante. Après un certain temps, la conversation coulait d’elle-même. Mais, plus le temps avançait, plus John s’impatientait. Il avait hâte d’en finir. Au bout d’une vingtaine de minutes, son père se leva pour offrir des breuvages. John refusa gentiment et attendit encore et encore avec une infinie patience. Le moment qu’il attendait et redoutait en même temps finit par arriver, quarante-cinq minutes plus tard. «Enfin!», se dit-il. John se dirigea dans la cuisine et demanda à son père s’il voulait d’autre breuvage. Il espérait que son père accepte, c’était la seule chance dont il disposait. Son père, heureusement, lui répondit qu’il en prendrait volontiers. John, délesté, senti une pression de moins sur ses épaules. Il sortit délicatement le sachet de son veston et mélangea les trois quarts dans le vers de son père. Il se gratifia d’avoir choisi le thallium comme poison, car il était incolore et inodore. Son père n’y verrait que du feu. Comme prévu, son père revint au salon et s’installa pour continuer la discussion. John, lui, sentait la nervosité et la fébrilité remonter en lui, beaucoup plus grandes cette fois. Il savait que les effets s’étendraient sur deux à trois semaines. Il ne s’inquiétait pas trop pour cela, car son aïeule ne mourrait que dans quelques semaines.

John resta encore un peu, le temps que son père termine son verre. Ce dernier le remercia et lui dit que cela lui avait fait du bien. John se senti mal, mais il se dit, comme pour s’excuser, qu’au moins il mourrait heureux. Il était conscient de la gravité de son geste, seulement, selon lui, il se rendait justice. Il n’avait donc pas mauvaise conscience. Maintenant, tout ce qu’il lui restait à faire était d’attendre et de voir comment les choses se dérouleraient. Il avait hâte d’hériter. Comment allait-il tenir tout ce temps?

Après deux semaines d’attente, il reçut un téléphone du centre médical où se trouvait sa grand-mère. On lui apprit qu’elle venait de mourir et que, n’ayant pas de réponse de son fils, ce serait son petit-fils qui prendrait en charge la succession. Il cacha son enthousiasme et dit qu’il acceptait. Il fut agréablement surpris que le plan d’un homme comme lui ait pu fonctionner sans accrochages. Il décida, pour fêter cette nouvelle, d’aller au casino. Il passa une excellente soirée, il s’amusa et prit tout à la légère. Ce qu’il préférait par-dessus tout, c’était les machines à sous. Il ne savait pas pourquoi, mais lorsqu’il y jouait, son intérêt pour le jeu s’agrandissait et il paraissait entrer dans un autre monde. Cela faisait depuis que sa femme l’avait laissé qu’il n’avait pas profité de la vie de cette façon. Peu après l’épisode des machines à sous, il décida de partir.

On le rappela en début de soirée le lendemain pour la succession de sa grand-mère. Il devait venir signer des papiers importants. Cet appel signifiait pour lui un symbole de libération. La joie de John grandissait de plus en plus. Bientôt, il n’aurait plus de dettes. Donc, le jour d’après, il se rendit chez le notaire. Il avait hâte de terminer les formalités et d’enfin être l’heureux propriétaire d’une grande fortune. Mais, puisqu’il y était forcé, il devrait tout de même passer par une multitude de démarches, toutes plus longues les unes que les autres. Quand le notaire commença à parler, John n’écoutait pratiquement pas ce qu’il lui disait, trop enthousiaste à l’idée d’acquérir une énorme somme d’argent. La plus grande partie de la rencontre se déroula ainsi. Après toutes ces semaines d’attente, il était impatient de signer, mais surtout d’hériter. Alors, dès qu’il put, il signa. On lui remit une copie des documents et l’informa qu’on le rappellerait sous peu.

C’est dans un état de libération, de bien-être et de bonheur qu’il retourna chez lui. Il était en extase, trop content et fier de son coup. Rien ne pourrait venir briser son bonheur. Arrivé dans son appartement, il se prépara un petit quelque chose à manger. Toutes ces émotions lui avaient donné faim. Peu après, il décida de jeter un coup d’œil plus sérieux aux documents qu’on lui avait remis. Il était comme dans un état second tellement il se sentait enthousiaste et avait hâte de voir le montant de l’héritage. Il chercha donc la valeur exacte de sa nouvelle fortune. Lorsqu’il la découvrit, il faillit s’étouffer. Il resta sans mots, frappé par ce qu’il venait de voir. Cette fois-ci, c’était vrai, il ne survivrait pas. Car contrairement à ce qu’il s’imaginait, l’héritage de sa grand-mère ne se composait pas d’une fortune en argent, mais plutôt d’un grand nombre de dettes…



Mouhahah!! Sadique non???? Perso' J'ai trop aiméRazz!!! Merci D'avoir lu:P
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Message  Temari Jeu 4 Fév - 22:28

Alors voilà j'ai terminée y'avait un nombre de mot maximum? c'est drôlement long pour un projet scolaire.

C'était prévisible je dois dire, bon le tien aussi mais le fait que se soit un copain pas une copine ma surprise (même si je comprends pas encore pourquoi)

Mais c'était pas mauvais un peu monocorde je dois dire, le tien était comment dire plus dynamique mais je ne saurais pas dire pourquoi.

Mais c'était pas mauvais, très bien écrit, j'aime le style, même s'il est monocorde et prévisible, mais elle aura une bonne note du moins moi je lui en mettrais une, a toi aussi remarque, mais pas pour les même raison.

Enfin c'ets mon avis, je préfère les textes dynamiques, que monocorde, mais la plupart des profs du secondaire préfère le contrôle (y'a qu'a regarder les bouquins qu'il nous font lire)
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Message  Deidara Ven 5 Fév - 11:21

^^ non on n,avais pas de nombre de mot maximum... ni minimum dailleurs XD!!!Merci^^ Marie voulait avoir un second avis
Je me demande pourquoi t'es surprise detre surprise --'' sincerement XD!
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Message  Sasuke Mer 17 Fév - 16:38

Rahhh, que je suis en retard! ><

Si je peux me permettre( je peux hein?), le texte est bien écrit, mais euh...l'atmosphère ne m'a pas plu plus que ça gné hé ^^'''''' Mais c'est juste question de goût hein ! ^^
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